Les sociétés qui se lancent dans la philanthropie et le mécénat cherchent à avoir un impact positif sur le monde. Mais, de peur d’être soupçonnées de social washing, elles rechignent souvent à communiquer sur leurs actions.
Pour sa 6e édition le 13 novembre prochain, le Grand prix de la philanthropie se tiendra à l’Institut du monde arabe. Comme chaque année, ce prix singulier, co-organisé par le Groupe Ficade et la Fondation de France, viendra récompenser les entreprises, toutes tailles et tous secteurs confondus qui, par leurs actions, œuvrent en faveur du bien commun.
Le groupe a annoncé qu’un comité spécial du conseil d’administration travaillait pour identifier son successeur. En attendant, plusieurs nominations sont annoncées.
Marie Guillemot prend la succession de Sami Rahal à la tête d'une fédération qui représente un secteur en forte croissance.
CEO du spécialiste de la formation à l’anglais My English School qu’elle a racheté au moment de la crise du Covid, Déborah Guillotin est également business angel. L’entrepreneuse accorde une importance toute particulière aux valeurs véhiculées par les projets et leur impact.
Depuis la revente de sa start-up Aiden.ai à Twitter, Marie Outtier consacre une partie de son temps au financement d’entreprises. À la tête d’un portefeuille de plus de trente start-up, celle qui est également venture partner chez Firstminute Capital peut s’appuyer sur son expérience anglo-saxonne pour éclairer ses choix.
Le groupe LVMH vient d’annoncer officiellement la prise de contrôle de l’emblématique hebdomadaire Paris Match qui faisait jusqu’à présent partie de la galaxie Bolloré.